• Bio

     



     

     

     

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    Auteur,compositeur, interprète et acteur, Neil Diamond est une pointure de la pop musique dont la carrière s’étend des années 60 à aujourd’hui. Vendeur de plus de 115 millions d’albums, en 2001, il est le troisième plus gros vendeur de disques avec Elton John et Barbra Streisand. En mai 2005, il a vendu plus de 120 millions d’albums, dont 48 aux seuls USA. Malgré un moindre succès depuis les années 80, Diamond continue à tourner avec un succès renouvelé et ses chansons d’être réenregistrées par une foule de nouveaux talents.

    1940'-1950'


     

    Neil Leslie Diamond est né le 24 janvier 1941, à Coney Island, dans le secteur de Brooklyn (New York), dans une famille de commerçants d'origine juive et russo-polonaise. Son père s'appelle Akeeba (Kieve) Diamond, et sa mère Rose Rapoport. Ses grands-parents maternels étaient Neil Abraham et Molly Rapaport, qui ont émigré de Russie. Ses grands-parents paternels étaient Abram et Sadie Diamond, qui ont émigré de Pologne. Son frère, Harvey Diamond, naît à Brooklyn, New York le 19 janvier 1943. En 1945, la famille s'installe à Cheyenne, Wyoming, où Kieve est stationnée dans l'armée américaine.

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                                                                                        Neil et son frère Harvey, au centre

    En 1956, Rose et Kieve déménagent à Brighton Beach, Brooklyn. Neil adore les films de cowboys chantants de l'époque. Il écrit sa première chanson, "Hear Them Bells." A l'automne, Neil entre à l'école Abraham Lincoln de Brooklyn. il y pratique l'escrime, et participe à des spectacles musicaux avec une chorale, où il côtoie une certaine Barbra Streisand. En janvier 1957, Neil reçoit sa première guitare en cadeau d'anniversaire. En juin 1958, Neil est diplômé de la Abraham Lincoln High School. A l'automne, Neil entre à l'université de New York avec une bourse d'escrime. Il ne se console pas du décès de sa grand-mère, et décide d'engager des études de médecine, afin de découvrir un remède contre le cancer.

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                                                                              Harvey, Rose et Neil Diamond

     

     

    1960-1969 Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit


    Bon pragmatique, il ne résiste néanmoins pas aux offres d'une maison d'édition, qui lui propose de le salarier (à hauteur de cinquante dollars hebdomadaires) pour qu'il compose des chansons.

    Après une tentative en duo avec un copain de fac, Jack Packer, (Neil and Jack), et deux 45 tours anonymes, il entame dès 1962 une carrière solo chez Columbia et sort At Night et Clown Town, pas davantage couronnée de ventes satisfaisantes, malgré des critiques élogieuses. Viré de chez Columbia, il retourne écrire sur son piano droit au dessus du jazz-club le Birdland où jouèrent Mingus, Monk et Coltrane. Il se ménage une porte de sortie en entamant des études de commerce (qui sont rapidement classées sans suite).

    Il prend néanmoins le temps en 1963 d'épouser une jeune enseignante, Jaye Poser, avec laquelle il a deux enfants, Marjorie et Elyn.

    Diamond intègre alors le Brill Building (usine des faiseurs de tubes de l'époque), et offre ses mélodies à Jay and the Americans, ou The Monkees (dont il compose l'un des hits les plus importants, « I'm A Believer »et aussi A Little Bit Me, A Little Bit You, Look Out (Here Comes Tomorrow) et Love to Love, non sans avoir espéré au préalable enregistrer ces chansons pour son propre compte. Ses succès pour d’autres, Neil les avaient écrits pour lui, mais personne ne voulait les lui laisser chanter. Puis Diamond recouvre son indépendance, loue un petit local, le meuble d'un bureau et d'une machine à écrire, et...attend le client.

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                                                                            En studio avec Jeff Barry et Ellie Greenwich

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                          Jeff Barry et Neil

    En 1966 Diamond signe chez Bang Records. Ces titres, tous produits par les légendes du Brill Building Jeff Barry et Ellie Greenwich, les voient faire les chœurs sur certains titres. Solitary Man devient le premier tube de Diamond, qui double la mise avec « Cherry, Cherry » (et un premier album The Feel of Neil Diamond édité en 1966), puis commence à régulièrement se produire sur scène, en lever de rideau de The Who ou de Herman's Hermits. En 1969, Diamond divorce, et dans la foulée épouse Marcia Murphey, qui lui donne deux fils, Jesse et Micah.

    Se sentant restreint dans ses publications par son label, il se sépare de Bang Records, grâce à une faille dans son contrat. Mais celui-ci l’attaque en justice ; et ce n’est que des années plus tard, en 1977, qu’il aura gain de cause, récupérant aussi les droits de ses masters. Ce qui fait de lui, avec Genesis, Van Morrisson, David Bowie, Paul Simon, Michael Jackson, Pink Floyd, Bruce Springsteen, Queen ou Johnny Rivers, le propriétaire de ses droits d’édition ; ce que Johnny Hallyday n’a pas eu en quittant Universal pour Warner.


     

    1970-1979 Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit


    Passé chez MCA, il entame les années 70 avec un chapelet de hits notoires : "Cracklin' Rosie", "Holly Holy" et "Song Sung Blue" ou en 1971 "I  Am... I Said". Le jeune homme devient alors le compositeur du moment, chanté par rien moins qu'Elvis Presley : "Sweet Caroline", repris en français par Eddy Mitchell sous le titre de "Miss Caroline", et composé en l'honneur de Caroline Bouvier Kennedy, seul enfant survivant du président assassiné). Puis également pour le groupe de hard-rock britannique Deep Purple, "Kentucky Woman", Lulu, avec "The Boat That I Row" et même Cliff Richard pour "I’ll Come Running", "Solitary Man", "Girl, You’ll Be a Woman Soon", "I Got The Feelin’", et "Just Another Guy" qui feront sa gloire comme auteur-compositeur.

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                      Neil et Marcia Diamond avec leur fils, Jesse, dans la loge du Winter Garden Theater de New York avant le show (1972)

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    En août 1972, Neil joue sept concerts à guichet fermé au Greek Theatre de Los Angeles.  Il en sort un double album live enregistré le 24 août, "Love At The Greek : Hot August Night", meilleure vente de double album. Le plus beau concert... dans l'histoire du Greek Theatre, selon le Los Angeles Herald-Examiner reports.

    En octobre 1972, Neil effectue 20 représentations au Winter Garden Theater de New York City, ce qui le propulse au rang de Superstar. Peu de temps après, Neil commence une année sabbatique de plus de 3 ans, au cours de laquelle, dit-il, il prévoit «...d'étudier le piano... de découvrir le langage technique de la musique... et la lecture.

     

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             The Last Waltz (1978) : Dr John, Neil, Joni Mitchell, Neil Young, Rick Danko, Van Morrison, Bob Dylan et Robbie Robertson

     

    En 1973, la BO du film médiocre Jonathan Livingston Seagull (Jonathan le goéland) lui offre son plus gros score avec golden Globe et Grammy Award (meilleure musique de film de l'année) à la clé. Cas rare dans l'histoire du cinéma, c’est un triomphe mondial, alors que la pellicule en elle-même ne suscite que critiques et sarcasmes.

    Ensuite, Serenade, en 1974, avec Longfellow Serenade et I've Been This Way Before et, avant son apparition dans le film d’adieu du Band filmé par Scorsese, The Last Waltz, Beautiful Noise produit par Robbie Robertson, le guitariste du Band. Son apparition dans le film le verra interpréter Dry Your Eyes.

    En 1976, le chanteur enregistre Beautiful Noise, produit par le guitariste de The Band, Robbie Robertson, et la même année, une perquisition à son domicile de Bel Air met à jour quelques grammes de marijuana. Diamond s'engage alors dans une cure de désintoxication.

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                                                                      Duo avec Barbara Streisand : "You Don't Bring me Flowers" (1978)

    Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuitNeil et Gilbert Bécaud

    L'année suivante est l’occasion de retrouvailles avec Barbra Streisand, pour un duo sur You Don't Bring Me Flowers, tiré de l’album I'm Glad You're Here With Me Tonight qui atteint de nouveau les sommets des hit-parades.

    En 1979, on opère le chanteur d'une tumeur sur la colonne vertébrale, et il entame la même année une prolifique collaboration avec Gilbert Bécaud (leurs compositions communes, September Morn  et « Love on the Rocks », deviendront des nouveaux hits). Cette année voit également une nouvelle version de I'm a Believer.

     

    1980-1989 Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit


    En 1980, Neil Diamond joue dans le film "The Jazz Singer", pour lequel il obtient le Golden Globe du meilleur acteur principal.

    En 1982, il compose, en compagnie de son mythique collègue Burt Bacharach, « Heartlight » (vivement inspiré d'E.T. L'extraterrestre) qui lui occasionnera un procès, Spielberg étant hérissé par « le piratage » de son œuvre, sans autorisation.

    En 1983, le groupe britannique UB40 connaît un énorme succès grâce à un arrangement reggae de la composition de Diamond « Red Red Wine ».

    En 1987, il interprète l'hymne national américain lors de la finale du Super Bowl (championnat de football).

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    Neil et Lucie Arnaz (The Jazz Singer)

     

     

    1990-1999 Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple
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    Tournée promo de l'album "Lovescape"

    Durant les années quatre-vingt-dix, s'il poursuit une intense activité de showman, il participe à de nombreuses opérations caritatives, et n'oublie pas le chemin des studios (six albums et deux enregistrements consacrés à des chants de Noël en une décennie), Neil Diamond ne connaît plus les tubes de ses débuts.

    Son souvenir reste pourtant vif dans le cœur de ses fans, grâce à Urge Overkill qui enregistre en 1994, une version de « Girl, You'll Be A Woman Soon » pour le compte du film Pulp Fiction de Quentin Tarantino.

    En 1995, Neil Diamond met un terme à son deuxième mariage. Depuis 1996, il entretient une relation avec une Australienne, Rachel Farley.

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    2000-2009 Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple
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    En 2000, Johnny Cash distille dans l'un des ses ultimes enregistrements une version de "Solitary Man". Smash Mouth reprend "I’m a Believer" sur leur album éponyme en 2001 ; et le groupe finlandais HIM encore "Solitary Man".

    En novembre 2005, l'album "12 Songs", produit par Rick Rubin (Run DMC, Red Hot Chili Peppers mais également responsable des derniers albums de Johnny Cash), et partiellement enregistré en compagnie de Brian Wilson, le montre au mieux de sa forme depuis des années (#4 au Billboard). Et est salué par les critiques.


    En studio avec Rick Rubin

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    Et, depuis 2007, le succès des tournées mondiales coïncide de nouveau avec celui des albums, puisque le réseau satellite Sirius lance un canal Neil Diamond, le 28 avril 2008, juste après le lancement de Home Before Dark qui grimpe dans le top 5 du Billboard US et # 1 en Angleterre. Le 6 mai 2008, l'album, de nouveau produit par Rubin, se classe simultanément en tête des charts américains (une première pour lui) et britanniques.

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    En 2009, Neil Diamond a été récompensé pour sa carrière lors de la cérémonie de remises des Grammy Awards où Jennifer Hudson, Coldplay et les Foo Fighters entre autres, lui ont rendu hommage et a été nommé aux Brit Awards 2009, au côté de Beck, Jay-Z, Kanye West et Seasick Steve dans la catégorie « Meilleur artiste international masculin ». Le 24 août 2009 sort le DVD et double CD "Hot august night/ NYC" enregistré live au Madison Square Garden en 2008 lors de sa dernière tournée.

    Le 13 octobre sortie du troisième album de Noël enregistré par Neil Diamond: " A cherry cherry christmas".

    A soixante-neuf ans, le chanteur est le plus vieil interprète à tutoyer les sommets des classements. A ce jour il a vendu plus de 125 millions de disques. Manifestement, Neil Diamond est de retour en ville.

    Image hébergée par 
Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit                         Grammy Award 2009

     












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